La publicité ne dit jamais tout, son message est biaisé par l’intérêt commercial ou idéologique.
Peu lui importe les conséquences des comportements qu’elle induit (alcoolisme, endettement, mépris des autres…), de l’inutilité des produits qu’elle vend (voiture sur-puissante, téléphone multi-gadget…), de la pollution induite (lingette, bouteille en plastique, mini-dose, suremballage…)…
La publicité n’est pas non plus démocratique puisqu’elle ne permet pas le dialogue, il n’y a pas de discussion possible (coût des campagnes, interdiction émises par le BVP). Le marketing vit en vase clos par la privatisation de l’espace public au profit de sa seule expression.
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